ÊTRE WOKE, C’EST PLUS TROP TENDANCE (APPAREMMENT)  

Comme les crèmes à la lavande qui collent ou les tubes de l’été qu’on regrette dès septembre, le “woke” est soi-disant devenu has-been. 

T’as mis des mois à piger les néo-pronoms et la culture de l’annulation? Oublie. Ctrl + Z, on efface tout. 

🎶 UN, DEUX, TROIS… UN PAS EN AVANT, MARIAH 🎶 

Le mot woke a repris de l’ampleur dans les années 2010 avec Black Lives Matter. Il désignait une conscience critique face aux injustices sociales : racisme, sexisme, LGBTQphobie... 
Être woke, c’est être éveillé·e, informé·e, empathique. Bref, pas aveugle à ce qui cloche. 

Mais en 2025, être woke ne fait plus trop rêver : 

  • Dans plusieurs pays (et pas besoin de regarder bien loin 👀), des politiques d’extrême droite accusent le mouvement woke de lavage de cerveau collectif. Résultat: lois anti-trans, campagnes contre linclusivité, clashs dans les écoles...

  • Des marques, autrefois très fières darborer les couleurs de la diversité, ont rangé leurs logos arc-en-ciel : moins de visibilité pendant la Pride, plus de silence gêné. (Coucou le pinkwashing)

  • Et une partie de la population commence à râler : on est allés trop loin, on ne peut plus rire de rien, on ne peut même plus faire des sushis sans se faire accuser d’appropriation culturelle.” 🙃 

COMMENTAIRE DE TONTON AU BARBECUE :Franchement, faut arrêter de tout dramatiser, non ?

Mais si on prend un peu de recul, difficile de nier que le mouvement a changé des choses : 

  • Le langage a évolué : même sur LinkedIn, on te propose d’afficher tes pronoms.

  • La représentation a progressé : au cinéma, dans la pub, dans les séries – y compris chez Disney.

  • Une prise de conscience sur les privilèges, même si elle n’est pas universelle.

  • Aujourd’hui, dire que tu es dans une relation ouverte ou queer fait moins lever les sourcils que de voir un mec mettre du contour des yeux. 

LE PIÈGE DE LA VISIBILITÉ

Le problème, c’est que même si la culture dominante semble plus inclusive, en surface, ça ne veut pas dire que les droits sont garantis. 

Surtout quand des acquis qu’on croyait gravés dans le marbre sont remis en question du jour au lendemain : 

  • Contenus LGBTQ+ censurés dans les manuels scolaires.

  • Attaques sur les droits fondamentaux comme l’accès aux soins, le droit à l’identité de genre ou à la parentalité.

  • Des lois qui existent, mais une application qui ne suit pas. 

QUAND TON EXISTENCE REDEVIENT UN DÉBAT 

Être woke, ce n’est pas une mode TikTok ni un hashtag éphémère. 
Pour beaucoup de personnes queer, racisées ou marginalisées, ce qui est en jeu, ce ne sont pas des débats d’idées, mais leur quotidien. Leur sécurité. Le simple fait d’exister. 

Et , on recommence: devoir se justifier, réexpliquer, être pédago, tendre lautre joue... ou pas. 

Parce que si des entreprises ou des “allié·es modéré·escommencent à reculer dès que ça devient politique, alors il faut le dire clairement : c’est une trahison. 

Et si on est en pleine régression, alors autant en faire une phase de contre-attaque. 
Pas pour demander le droit d’exister. Pour l’exiger. 

Occuper l’espace. Déranger. S’élever. 
Feu contre feu. 
Car on le sait bien : ils sont venus pour les autres… et quand ils sont venus pour moi, il n’y avait plus personne pour parler. 

BON PRIDE

P.D.: Ce qui, lui, ne se démode jamais: le sérum anti-âgeWowyoung. Il te garde jeune, glowy, impeccable. Pour la manif, pour le dancefloor ou pour les deux. Jusqu’au petit matin. 

ÊTRE WOKE, C’EST PLUS TROP TENDANCE (APPAREMMENT) 

Comme les crèmes à la lavande qui collent ou les tubes de l’été qu’on regrette dès septembre, le “woke” est soi-disant devenu has-been. 

T’as mis des mois à piger les néo-pronoms et la culture de l’annulation? Oublie. Ctrl + Z, on efface tout. 

 

🎶 UN, DEUX, TROIS… UN PAS EN AVANT, MARIAH 🎶

Le mot woke a repris de l’ampleur dans les années 2010 avec Black Lives Matter. Il désignait une conscience critique face aux injustices sociales : racisme, sexisme, LGBTQphobie... 

Être woke, c’est être éveillé·e, informé·e, empathique. Bref, pas aveugle à ce qui cloche. 

Mais en 2025, être woke ne fait plus trop rêver : 

  • Dans plusieurs pays (et pas besoin de regarder bien loin 👀), des politiques d’extrême droite accusent le mouvement woke de lavage de cerveau collectif. Résultat : lois anti-trans, campagnes contre l’inclusivité, clashs dans les écoles...

  • Des marques, autrefois très fières d’arborer les couleurs de la diversité, ont rangé leurs logos arc-en-ciel : moins de visibilité pendant la Pride, plus de silence gêné. (Coucou le pinkwashing…)

  • Et une partie de la population commence à râler : “on est allés trop loin”, “on ne peut plus rire de rien”, “on ne peut même plus faire des sushis sans se faire accuser d’appropriation culturelle.” 🙃 

 

COMMENTAIRE DE TONTON AU BARBECUE :Franchement, faut arrêter de tout dramatiser, non ?

Mais si on prend un peu de recul, difficile de nier que le mouvement a changé des choses : 

  • Le langage a évolué : même sur LinkedIn, on te propose d’afficher tes pronoms.

  • La représentation a progressé : au cinéma, dans la pub, dans les séries – y compris chez Disney.

  • Une prise de conscience sur les privilèges, même si elle n’est pas universelle.

  • Aujourd’hui, dire que tu es dans une relation ouverte ou queer fait moins lever les sourcils que de voir un mec mettre du contour des yeux. 

LE PIÈGE DE LA VISIBILITÉ 

Le problème, c’est que même si la culture dominante semble plus inclusive, en surface, ça ne veut pas dire que les droits sont garantis. 

Surtout quand des acquis qu’on croyait gravés dans le marbre sont remis en question du jour au lendemain : 

  • Contenus LGBTQ+ censurés dans les manuels scolaires.

  • Attaques sur les droits fondamentaux comme l’accès aux soins, le droit à l’identité de genre ou à la parentalité.

  • Des lois qui existent, mais une application qui ne suit pas. 

 

QUAND TON EXISTENCE REDEVIENT UN DÉBAT

Être woke, ce n’est pas une mode TikTok ni un hashtag éphémère. 

Pour beaucoup de personnes queer, racisées ou marginalisées, ce qui est en jeu, ce ne sont pas des débats d’idées, mais leur quotidien. Leur sécurité. Le simple fait d’exister. 

Et , on recommence: devoir se justifier, réexpliquer, être pédago, tendre lautre joue... ou pas. 

Parce que si des entreprises ou des “allié·es modéré·escommencent à reculer dès que ça devient politique, alors il faut le dire clairement : c’est une trahison. 

Et si on est en pleine régression, alors autant en faire une phase de contre-attaque. 
Pas pour demander le droit d’exister. Pour l’exiger. 

Occuper l’espace. Déranger. S’élever. 
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Car on le sait bien : ils sont venus pour les autres… et quand ils sont venus pour moi, il n’y avait plus personne pour parler. 

 

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